Mes sources

Ces explications sont le fruit de plusieurs années de collectes .

Je travaille avec une baguette de sourcier, et, comme les sourciers  de nos campagnes qui  cherche l’eau, je recherche des vestiges gallo-romains.

Ne me demandez pas comment ça marche, j’ai renoncé à  essayer d’expliquer  ce phénomène, mais le fait est certain, ça marche.

Mais je suis assez d’accord avec ce que disait Nikola TESLA « Si vous voulez trouver les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration. » TESLA, scientifique qui n’est pas le créateur de la voiture autonome, mais un inventeur prestigieux qui au début du vingtième siècle a écrit 900 brevets traitant de l’électricité.

Yves RocardJe rejoins aussi ce que  disait  le Professeur Yves Rocard  inventeur de la bombe H:
«  les radiesthésistes existent parce qu’ils obtiennent des résultats incontestables ».

Dans le même ordre d’idée on pourrait  citer le Dr Charles Richet charles Richet nobelprix Nobel de médecine: « Nous devons accepter la radiesthésie comme un fait……………..Ce qu’il faut maintenant c’est en développer les possibilités » et c’était en 1913 !
On peut aussi citer Armand Viré le spécialiste local du sujet, armand Virépuisqu’il est mort à Moissac en 1951.Il a été mis à l’honneur en 2015 à Moissac par l’université de Toulouse Jean Jaurès (TRACE); Tour à tour spéléologue, hydrogéologue, préhistorien,reconnu par ses pairs il était aussi radiesthésiste. Il constata avec surprise qu’il était lui aussi apte à manier pendule et baguette et très rapidement il devint un des plus célèbres radiesthésistes d’Europe. Au IX ième congrés préhistorique de France en 1913 il attirait l’attention de ces spécialistes sur l’intérêt que cette méthode pouvait avoir pour les archéologues.
Il en était arrivé à la conclusion que:
« La radiesthésie sera demain, sous un nom plus approprié à son rôle général,une science véritable »

Pour en revenir à considérations pratiques je voudrais que l’on sache qu’il ne s’agit pas d’un don surnaturel extraordinaire réservé à certains « élus », mais d’une faculté que nous avons tous en nous. Faculté qui peut être plus ou moins importante suivant les individus. Le plus difficile dans sa mise en œuvre vient du fait qu’il faut au départ un certain lâché prise que notre culture scientifique ne nous incline pas à avoir.

baguette sourcierOn apprend à se servir de cet instrument comme on apprend à nager. Certains apprennent très vite et sans effort;  d’autres auront par peur de l’eau  un gros blocage et donc énormément de mal.

Il faut un certain degré de confiance pour se persuader que l’on flotte sur l’eau. Il en est de même en géobiologie un certain degré de confiance est nécessaire, il faut passer  au delà de ses à priori cartésiens et les railleries condescendantes de son entourage et des  milieux scientifiques, pour apprendre à se servir des outils du géobiologiste.

Et bien sûr, moins on est confiant, plus on est sceptique  moins on y arrive. Il est amusant de voir que des enfants de moins de 12 ans apprennent avec une facilité déconcertante, alors que bon nombre d’adultes même volontaires ont souvent beaucoup de mal.

Mais hélas, notre environnement scientifique freine toujours des 4 fers devant un savoir qui n’a pas d’explications   satisfaisantes, et bien sûr dans leur  logique   si il n’y a pas d’explications c’est qu’il s’agit forcement d’une supercherie, c.q.f.d. !

Chaque génération de chercheur dépense régulièrement beaucoup de temps, d’énergie  et d’argent pour démontrer  la supercherie de celle-ci, sans essayer de mettre à profit ce savoir précieux.

Mais on peut toujours espérer et comme disait Sir James Jean (Mathématicien, physicien et astronome britannique)  :

« Le fleuve de la connaissance est souvent revenu sur lui-même »,

Certains scientifiques des plus reconnus ont ainsi prétendu en d’autre temps que: «  plus train a vapeurlourd que l’air ne saurait voler » ou encore « que l’homme qui atteindrait des vitesses supérieures à 100km/h mourrait asphyxié » « En 1835, les membres de l’académie de médecine de Lyon demandèrent solennellement : ne risquerons-nous pas des atteintes à la rétine et des troubles de la respiration à grande vitesse, les femmes enceintes ballottées ne vont-elles pas faire des fausses couches » En 1906, dans la préface de sa Bibliographie des chemins de fer, de Villedeuil ajoute, parmi les conséquences médicales présumées du voyage en train, la danse de Saint-Guy produite par les trépidations. Il évoque aussi la cécité en utilisant un terme médical vieilli : les chemins de fer « enflammeraient la rétine » à cause de la succession fugace des images, toujours sans donner de référence »

Et aujourd’hui même avec la mise en avant des théories quantiques par nombre de scientifiques, les milieux scientifiques sont toujours très circonspects, voir méprisant pour une technique qui est  trop simple pour être vraie.

En attendant, tout un chacun fait appel à un sourcier avant de faire réaliser un puits . Quelques Médecins recommandent de faire appel à quelqu’un qui enlève le feu après une brulure, une série de rayons ou un zona.

Rares sont les spécialistes qui aujourd’hui remettent en question l’efficacité de l’homéopathie malgré la présence presque inexistante de principe actif .  Ne parlons pas des travaux concernant les facultés de notre cerveau en matière de télépathie, source d’espoir immense pour les personnes dépendantes qui en mentalisant un mouvement arrivent à maitriser une prothèse ou un ordinateur.

La  » science » est loin d’avoir exploré et compris toutes les compétences et possibilités  de notre cerveau. et comme on dit souvent: la vérité franchit toujours trois étapes,elle est d’abord ridiculisée,elle subit ensuite une forte opposition,pour finir par être considéré comme ayant toujours été une évidence.

Arrêtons là cette polémique stérile  contre  laquelle je ne peux me battre,Laissons avec tristesse, le temps au temps et revenons à notre « Toulouse Antique »

J’ai sillonné Toulouse dans tous les sens pendant  ces dernières années, et je continue.

Je recueille des informations, je les compile, je les mesure, je les compare , les vérifie et les analyse. Je travaille comme le fait un aveugle, je ne vois pas les bâtiments mais je peux en connaître les limites avec une précision très étonnante ce qui me permet de les appréhender. Travail qui représente un nombre d’heures déjà très impressionnant.

Avec mes notes, je  dessine  les sites visités en 2D, et essaye ensuite de les restituer en  3D.

Passé cette phase je recherche dans les documents anciens et les cartes ce qui permettrait de corroborer mes trouvailles. Concordance qui est loin d’être systématique mais qui n’est pas rare
Je pense ainsi avoir fait le tour de Toulouse et de son passé antique, ce qui est d’autant plus difficile que nombres de constructions, mêmes romaines, s’y sont généralement succédées .

Quand je compare mes notes avec les conclusions de nos experts archéologues je suis souvent étonné par la hardiesse de leurs interprétations qui reprises en boucle deviennent des semi vérités, alors qu’elles ne sont que des hypothèses.

Mais, même si leurs propositions me paraissent  parfois erronées, elles n’en émanent pas moins des meilleurs  spécialistes qui ont le très grand mérite de susciter par leurs présentations magnifiques, l’intérêt des toulousains pour leur passé antique.

Sur un autre plan je suis choqué de voir que c’est à coup de grosse pelle-mécanique que l’onpelle mecanique prospecte de vastes espaces pour vérifier, de façon préalable à des travaux de construction, si un terrain recèle un intérêt archéologique.
Pelle-mécaniques très peu respectueuses des vestiges potentiels contenu dans le site.
On passe, avec cette méthode, de la petite cuillère à un monstre mécanique.

Outre que la méthode risque d’écorner sérieusement la réputation d’excellence des archéologues français,
Outre que les résultats manquent de précision
Outre le coût particulièrement important de la méthode, alors que l’INRAP pleure tout les ans une rallonge budgétaire,

On pourrait s’intéresser à la géobiologie, beaucoup plus respectueuse du site, beaucoup plus rapide , beaucoup plus précise, tout en permettant des interventions minutieuses ciblées grâce à la compréhension globale du site.

Aujourd’hui, je ne veux pas imposer ma vision des choses, mais je souhaiterais que ma proposition soit regardée comme une hypothèse possible chaque fois que l’on fait une analyse du Toulouse de cette époque.

Et ce n’est par outrecuidance ou irrespect  que je le souhaite ardemment , mais pour que cette recherche avance plus vite.

Je terminerai en citant Poincaré:

« C’est avec logique que nous prouvons et avec l’intuition que nous trouvons »

Je souhaiterais être le Pygmalion  de cette intuition qui permet de trouver

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